Les extrêmes sont un lieu de confort
Confort dans le sens où l’on se sent fort
Et non pas invisibles dans l’indécis gris
Qui rappelle que tout existe sans lui
Sur cette bleue bille flottante dans l’écho
Du Créateur nous acclamant d’en haut
Et que les oiseaux crient dans le vieux ciel
Dont le poids est visiblement démentiel

Se démarquer entre la démence et son absence
Est bien plus évident pour arrêter la guerre
Que les particules disparates qui pensent
Être des boussoles vers un équilibre pair
Dans un brouillard d’une simple médiocrité
Qui pousse à constamment tout regretter

Les philosophes savent qu’ils baissent
Le moral des mortels par l’unique beauté
De la sagesse accompagnée de caresses
Et qui offre le fameux verdict tant familier
La haine se manifeste irrégulièrement
Chez les marginalisés pleurants en peine
Le paradoxe entre la justesse qui ment
L’arrivée prochaine de l’admirable comète
Et la réalité vue et apparente si ignorée
Par les fantasmes excessifs du fort refus
D’admettre qu’aucun prochain jour la paix
Va réconcilier suprématie et histoire vécue